Parrainé par 
Notre pays vit, au moins, 4 transitions simultanées.
3 d’entre elles sont « matérialisées » au plan politique par un Ministère : la Transition écologique, la Transition numérique et la Transition démographique (la France est un pays en voie de vieillissement).
La 4ème est la Transition Entrepreneuriale, c’est-à-dire l’évolution progressive d’une société de salariés en CDI vers une société de freelances et d’entrepreneurs.
Trouver (et garder) ses clients, voilà la pierre angulaire de votre activité de freelance !
Sans eux, point de salut.
Vous me direz : « Merci pour cette lapalissade ! » Attendez, attendez…
Nous savons bien que le grand écart est fréquent (et douloureux) pour les freelances : entre l’accumulation de missions « one shot » et la poursuite d’une vision à long terme, l’irrésistible tentation de céder aux sirènes des missions à « gros budget » alors que votre instinct vous crie que vous allez y laisser votre chemise… Et ce ne sont là que quelques menus exemples !
En 20 ans, le nombre annuel de créations d’entreprises a été multiplié par 3. Et on ne compte plus le nombre d’événements qui leur sont dédiés. Les 30 septembre et 1er octobre prochains, se déroulera au Palais des Congrès de Paris, le 21ème Salon SME. Passage en revue de ses principales caractéristiques.
Depuis 2009, les créateurs d’entreprises ont enfin à leur disposition un régime « simple » : l’auto-entreprise, devenue micro-entreprise. Mais l’administration française, regrettant peut-être d’avoir créé un espace de liberté et de simplicité, semble chercher à complexifier le régime au fil des réformes : la possibilité d’être assujetti à TVA en est un exemple récent.
Ça y est, vous êtes enfin auto-entrepreneur (ou plutôt devrions-nous dire micro-entrepreneur, car depuis 2016 le statut a changé de nom) ! Vous êtes maintenant chef d’entreprise, et même si la gestion d’une micro-entreprise se veut être plus simple que pour les autres formes juridiques, il vous faudra adopter les bons réflexes dès le départ pour éviter les erreurs et assurer la pérennité de votre micro-entreprise. D’autant plus que vous allez être seul pour tout gérer, raison de plus pour bien s’organiser.
En tant qu’ancien sportif de haut niveau, je compare souvent l’entrepreneuriat à la pratique d’un sport à au niveau : il faut s’entraîner, savoir échouer, se relever et apprendre de ses erreurs pour décrocher la victoire (ou, si on parle d’entrepreneuriat, assurer la pérennité de son entreprise en décrochant de nouveaux contrats et clients tout en étant bien organisé pour éviter de les décevoir !). Voici mes 5 conseils pour gérer efficacement votre micro-entreprise !
